8 juillet 2020
Témoignage – « Je voulais que Feu Vert soit actif dans cette crise et que l’on apporte une solution à ceux qui luttaient contre le virus »
Sur le front « confinement », vu par Omar LAKBIR, Réceptionnaire atelier du centre auto de Montpellier-Ouest

Peux-tu te présenter?
J’ai intégré le groupe Feu Vert en octobre 2017 au poste de conseiller vendeur dans le centre de Montpellier-ouest dirigé par M. Jean-Philippe Cornet. Après quelques mois, j’ai évolué en tant que responsable accueil montage (que l’on nomme dorénavant « Réceptionnaire atelier »). Depuis décembre 2019, j’ai intégré le parcours de Responsable Commerce.
Ma mission actuelle comme Car-keeper me correspond puisque j’aime les nouveautés, prendre de nouvelles responsabilités et relever des challenges. Dynamique et sportif, je pratique la boxe depuis l’âge de 5 ans, j’ai pu obtenir mon grade de « spécialiste pieds-poings et combat rapprochés » en 2019. C’est un sport auquel je tiens énormément car il m’apprend à dépasser mes limites.
En quoi le confinement a-t-il impacté ton travail?
Dans le fond, notre travail n’a pas changé mais a nécessité une plus grande implication et application dans notre polyvalence. Nous étions 3, M Jean-Philippe Cornet (Directeur du centre auto), M.Dilan Corps (Technicien) et moi-même pour satisfaire un flux clients important.
Avec une équipe réduite, cela a facilité la communication et l’organisation de nos journées, ce qui nous a permis de performer.
Quelles étaient tes motivations pour travailler pendant cette période?
Je voulais que Feu Vert soit actif dans cette crise et que l’on apporte une solution à ceux qui luttaient contre le virus. Je pense à nos infirmiers, médecins, forces de l’ordre, mais aussi à tous ceux qui ont continué à faire vivre la nation. J’ai répondu présent sans réfléchir à ce défi, à la demande du directeur.
Je voulais également que mon centre continue de produire du chiffre d’affaire, et soit prêt à accueillir les clients et ouvrir plus facilement après la crise.
Quel est ton évènement marquant du confinement?
J’ai vécu une période de confinement très active, je travaillais, je faisais mon sport… mais une chose m’a marqué et touché pendant cette période, c’est la solidarité et l’engagement de certains pour faire face à la crise. Cela a fait naître des initiatives et des bonnes idées de la part des Français et nous a donné l’opportunité de prendre du recul, de se former, de se réadapter, ou encore de nous rapprocher les uns des autres.
Pour moi, le confinement n’a pas été une punition. Ce contexte peut donner l’impression de nous avoir arraché à la vie, or, il en faut plus aux Français. Cela nous a renforcés et encore plus rapprochés, un événement marquant et formateur.